Le chien est une aide indispensable et complémentaire, un soutien psychologique, un lien avec le monde extérieur, une assistance pour les secours, un complice apaisant, etc. Aujourd’hui, on ne cesse de découvrir, ou redécouvrir, les effets bénéfiques de sa présence sur le bien-être des personnes dépendantes ou handicapées, ses qualités sur le plan psychologique , sur le plan physique, sur le plan social.
Des cohabitations sont encore disponibles à Ambarès, Canéjan, Le Haillan, Parempuyre, Pessac et Villenave d’Ornon !
Vivre Avec – Solidarités intergénérationnelles. Quatre mots qui font notre fierté. Quatre mots qui pétillent de la joie du travail accompli, des projets et des ambitions de nos 20 ans d’existence
Nous ne cessons de le rappeler depuis notre « Esquisse de la théorie de l’Aidance » (Bouisson et Meneau, 2015) : il n’y a pas d’aidant sans aidé, sans considération pour la dyade qui les rassemble et, plus précisément, pour le lien qui les unit, saisi dans son écologie propre.
Le défi d’un « Chez Soi Chez Nous ». On ne peut pleinement bâtir, c’est-à-dire édifier un lieu qui permette de véritablement habiter, sans l’avoir pensé au préalable
Deux paradigmes majeurs de « Vivre Avec ». En cette année 2024, l’association « Vivre Avec – Solidarités intergénérationnelles » fête ses vingt ans. C’est, pour nous, l’occasion de nous replonger au coeur de nos valeurs et de nos objectifs.
Anticipée, vécue, récente ou plus lointaine, la rupture peut faire d’autant plus mal qu’il n’y a pas la « peau » des mots pour la saisir et l’exprimer, pas plus qu’il n’y a d’oreilles pour l’entendre. D’ailleurs qu’est-il proposé à ces « aidants² » dans cet entre-deux de solitude ?
L’habitat intergénérationnel solidaire constitue une expérience existentielle singulière, qui débute aux marges du Chez Soi.
Entre 18-30 ans et 75-95 ans, les « jeunes » et les « vieux » de l’association Vivre Avecfont face à des expériences existentielles comparables. Savoir les partager est source debien-être, à condition de dépasser les préjugés solidement établis, et d’être accompagné par des professionnels formés à leur écoute.
Une approche novatrice entre sollicitude,accompagnement et soin.
Jusqu’où Vivre Avec peut-elle aller dans l’accompagnement des seniors ?
L’Inter-Aidance est relative aux affections sévères de longue durée durant lesquelles un lienaidant-aidé s’est établi au sein d’une Aidance spécialisée.
Si nous (re)vitalisions le vieillir ?
Depuis plusieurs dizaines d’années, et de façon toujours plus accentuée, nous assistons à une sorte de disjonction, de schize, entre la définition et l’usage. Vieillir n’est plus de l’ordre du devenir, mais de l’être. L’usage a phagocyté le sens.
En abordant la question du devenir, certains se rappelleront leurs cours de philosophie, notamment Héraclite, ou encore Hegel et la dialectique de l’être et du non-être. Pour notre part, nous traitons ici du devenir dans le contexte de l’Aidance, plus exactement dans les états d’Anté-Aidance et de Post-Aidance spécialisée.
L’Anté-Aidance est l’objet de toutes les attentions de la part de Vivre Avec et de l’ESAD. C’est un état où il est fréquent de voir les difficultés s’accumuler et croître, jusqu’à devenir des problèmes générateurs de risques physiques et psychologiques.
S’il y a de nombreuses publications sur les aidants, il reste encore de nombreux rivages inexplorés de l’Aidance, et plus encore d’aidances sans visage.
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Dans notre troisème infolettre, nous faisons le bilan d'une nouvelle année de cohabitation intergénérationnelle